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Le paiement des frais liés à l’école simplifié pour les parents

Demandée pendant longtemps par les parents et les écoles, Eska a enfin intégré dans sa version d’Août 2023 le service XSchoolPay (Lire Cross School Pay). 

XSchoolPay est une infrastructure interbancaire conçue pour les écoles qui leur permet d’accepter divers paiements électroniques. Ainsi XSchoolPay permettra à un parent de régler tout frais soit par mobile, soit par compte bancaire. Dans tous les cas, le règlement du parent est déposé directement sur le compte bancaire de l’école et celui-ci reçoit un accusé de réception émis par l’école, garantissant que le paiement est connu et a été pris en compte.

XSchoolPay est accessible aux parents à travers l’application mobile Eska, qui dispose des intégrations nécessaires permettant de recevoir les frais émis par l’école (scolarité, transport, examens, etc.). Ces frais arrivent sur l’application Eska sous forme de factures payables par mobile ou compte bancaire au profit de l’établissement émetteur.

Cette interaction est rendue possible parce que sur Eska, les parents renseignent leurs informations et celles de leurs enfants (nom complet, école, classe, matricule, date de naissance, photo, etc.). L’école émet ses factures à partir du logiciel Scolarfleet qui fait partie intégrante de XSchoolPay. Scolarfleet s’acquiert automatiquement et gratuitement par l’école dans le processus d’enrôlement.

  1. Comment recevoir les  frais scolaires de votre enfant sur Eska 
  • Mettez à jour la version de l’application mobile Eska que vous avez en téléchargeant sur AppStore ou PlayStore.
  • Ajoutez votre enfant et prenez soin d’ajouter son Matricule dans la partie Informations de l’école

L’application se charge de retrouver les paiements en attente. 

2. Comment régler un paiement

  • Le menu Paiements  vous présente la liste des paiements en attente,
  • Sélectionnez le paiement de votre choix et appuyez le bouton Payer.

Eska vous aide à éviter les tracasseries causées par le déplacement vers la banque pour payer les frais liés à la scolarité de votre enfant, grâce à l’intégration d’une  nouvelle fonctionnalité XSchoolPay. Vous pouvez effectuer vos règlements à distance sur votre Smartphone, et vous avez à la fin de chaque paiement une confirmation par SMS en provenance de l’école. 

Pour ce qui des paiements effectués en dehors de l’application, vous avez la possibilité de transmettre les reçus des paiements effectués directement à l’école via l’application mobile Eska.

Si vous êtes responsable d’école et souhaitez ajouter votre école sur XSchoolPay, découvrez les détails ici: https://eskalearning.com/xschoolpay/

Allons y!

L’application Eska est gratuite et téléchargeable sur https://eskalearning.com/download?src=blog

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Eska Rush 2023, Jusqu’à 100 000F à gagner pour tout enseignant qui invite 10 parents

Eska est une application mobile dont l’utilisation améliore les performances scolaires des enfants.

Sur Eska, les parents payent les enseignants pour avoir les rapports détaillés quotidiens de leurs enfants

L’enseignant télécharge l’appli Eska, crée son compte, configure ses classes, les matières et fixe son coût de suivi mensuel.

Il ne reste plus qu’à accepter les invitations des parents d’élèves qui le sollicite, une notification en retour est envoyée au parent qui paie le coût du suivi mensuel fixé en toute liberté par l’enseignant sollicité dans sa matière et le suivi peut commencer !

La promotion continue chez Eska Cameroun, Eska Rush 2023 estune opportunité pour tous les enseignants camerounais de gagner 100 000 FCFA en faisant quelque chose de très simple, enrôler des parents.

Principe Eska Rush 2023 au Cameroun

Pour cette édition nous ferons 5 gagnants, la cagnotte s’élève à 100 000F CFA pour un objectif de 10 parents à enrôler sur l’appli mobile Eska. Tout enseignant qui télécharge l’appli Eska et crée ses salles de classe, reçoit automatiquement dans son compte une recharge de 100 000 F CFA mais cet argent n’est accessible que si vous y parvenez dans un délai d’une semaine à partir de la date du lancement.

Chaque fois qu’il y a un gagnant, le solde de la cagnotte est débité de moitié et vous compétissez pour le reste dans un délai d’une semaine et ainsi de suite.

En effet, le 1er enseignant à enrôler (accepter les invitations) 10 parents au bout de 1 semaine gagne la cagnotte de 100 000F.

Pour déterminer le 2e vainqueur du Rush, le compteur passe de moitié, la cagnotte affiche 50 000F chez le reste des concurrents et le Rush est relancé pour 1 semaine donc à la date du 21 Janvier 1er enseignant à enrôler 10 parents remporte 50 000F.

Le 3é vainqueur est décelé le 04 Février et gagne 25 000F

Le 4é vainqueur est décelé le 11 Février et gagne 15 000F

Le 5é vainqueur est décelé le 18 Février et gagne 10 000F Il faut préciser que ce gain est un bonus sur le revenu mensuel que vous gagnez sur l’appli Eska (Montant du coût de suivi mensuel que vous fixez d’ailleurs en toute liberté).

Commencez dès maintenant !

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L’APEE DANS LA DIGITALISATION DES ENSEIGNEMENTS

Présentation de l’APEE

Les Associations des Parents d’Élèves et des Enseignants (APEE) depuis des années font partis des acteurs incontournables sur la scène de l’éducation au Cameroun dans le but de pallier aux difficultés financières rencontrées par certains établissements. Pour cela, les membres de ces associations doivent apporter leurs contributions financières à l’administration des établissements respectifs de leur(s) enfant(s) lors de l’acquittement des frais de scolarité de ce(s) dernier(s). Celles-ci peuvent varier d’un établissement et d’un cycle à l’autre. Ces fonds sont destinés à l’aménagement et/ou à l’équipement des locaux ainsi qu’au paiement des enseignants vacataires et du personnel d’appui.

Disfonctionnement des APEE

Bien que ces associations soient régies par des textes en vigueurs, les membres de celles-ci sont bien trop souvent les victimes d’abus de confiances et de malversations de la part de leurs administrateurs. Ces abus peuvent provenir du fait que dès l’entame ni les parents délégués, ni les enseignants n’ont été édifiés sur ces textes. Par quels moyens peuvent-ils donc être informés sur leurs droits et leurs devoirs en tant que membre de l’APEE pour pouvoir les faire valoir ?

Accessibilité aux projets à réaliser

Lors des rencontres des APEE, l’élection du président est une obligation. Celui-ci sera le principal gestionnaire des ressources mis à sa disposition bien que souvent il soit de connivence avec le proviseur de l’établissement d’où il est élu. Pour être mandaté, le candidat doit battre campagne auprès des parents délégués pour défendre ses idées et ses projets pour ses deux années de fonction. Bien que ces élections soient pour la plupart faussées par la présence parmi les votants de parents délégués fictifs pour que le candidat élu serve au mieux les intérêts du principal. Ce président peut également perdre toute crédibilité du fait de l’absence dans son programme de réalisations à court terme (celles pouvant impacter l’année scolaire en cours) en faveur de projets dont l’échéance est prévue après son mandat, pour pouvoir se libérer de toute responsabilité ou du moins solliciter un nouveau mandat pour achever son programme !

Grande est alors la déception dans certains établissements de constater l’absence d’amélioration dans les infrastructures ou les équipements scolaires lors de la fin du mandat du président de l’APEE. Les projets de la campagne n’ayant été consignés nulle part et l’entente maintenue secrète entre le proviseur et le président, ne permettent pas aux parents délégués de présenter leurs réclamations ou de porter plaintes. Ceci aussi est dû à un manque d’intérêt manifeste du parent qui se fait ressentir même dans le cursus scolaire de son enfant.

Gestion des ressources

L’opacité de la gestion des ressources financières provenant de la contribution annuelle des parents membres est le résultat de l’absence de présentation d’un bilan de l’exercice du président sortant mais également de la duplicité de ses gérants. Aucun budget présenté, aucun suivi sur les dépenses, aucune présentation des états financiers au courant de l’exercice, seule la parole du Président de l’APEE ou du Proviseur est de bonne foi. Le mutisme de la gestion des ressources des fonds récoltés encourage alors un perpétuel recommencement des malversations de la part des gérants et cela malgré les réclamations des membres.

La digitalisation des enseignements comme départ de solution

J’ai assisté à une scène dans le bureau de Madame la proviseure d’un établissement qui échangeait avec un Commercial d’une entreprise qui lui proposait de souscrire à une solution logicielle d’administration de l’école. Mais le coût devenait exorbitant quand était venu le moment d’aborder le côté tarif, 10 000 FCFA / élève, c’est à dire pour un établissement de 3000 élèves la solution revenait à 30 000 000 FCFA ! ‘’Non, impossible c’est trop cher !’’ reprend-t-elle.

 Le négociateur tenta alors de traiter l’objection en faisant un geste commercial consistant à baisser le coût par élève à 6 500 F, Ce qui a fait rigoler Mme la proviseure, tout en rappelant que sur 15 000 F des frais d’APEE, il ne lui restera que 8 500 F et il sera difficile pour elle de réaliser les projets plus urgents !

Le Commercial insista en tentant encore de la convaincre. C’est alors que dans un moment ultime elle s’exclama ‘’ Non, c’est impossible, je ne peux pas manger des poulets chez moi quand mes élèves pataugent dans la boue pour se déplacer au sein du campus’’

En réalité le Commercial proposait une solution de 3e génération avec des SMS coûteux. Il ne pouvait faire autrement que de proposer une facturation élevée pour satisfaire ses prestations bien qu’il existe d’autres solutions plus performantes et moins onéreuses.

ESKA : Un outil de 5e génération

La digitalisation de l’enseignement consiste à rendre les enseignants digitaux, on parle ici de mettre en place une panoplie d’outils pouvant faciliter la digitalisation de ces derniers afin de les rendre plus performant. Pour atteindre une véritable digitalisation, nous sommes passés de la 1e à la 5e génération d’outils digitaux, Il s’est ainsi avéré que de la 1e à la 4e génération, les outils ne sont pas vraiment adaptés à la mission de digitalisation des enseignants.

Néanmoins, les enseignants l’adaptent progressivement mais il est nécessaire de passer à un outil de 5ème génération pour permettre à chacun de profiter des bénéfices de la digitalisation, et pour promouvoir non seulement l’exploitation en termes de connexion à faible consommation d’internet, mais aussi présenter aucune exigence pour les enseignés d’avoir besoin d’un Smartphone ou d’un terminal de connectivité. Dans l’ensemble, les outils employés par les enseignants pour poursuivre le processus de digitalisation ne sont pas appropriés. Afin que cette digitalisation se poursuive bien, il est nécessaire que les outils de digitalisation soient conçus avec l’idée de l’enseignant au centre.

Chaque enseignant devrait trouver un certain intérêt dans cette digitalisation, l’intérêt ici peut se référer aux éléments suivants :

  • Les finances
  • La réduction du travail
  • Efficacité du travail
  • Prévention des agressions provoquées par les élèves
  • Amélioration de la communication avec les parents des élèves
  • Mise en œuvre efficace du e-learning.

Pour un meilleur recours aux moyens numériques de transmission des contenus d’enseignements, il devrait être possible de fournir aux enseignants des solutions simples qui peuvent être acquises par tous et qui leur permettent de maintenir leur confort en tant qu’enseignant ! Cela facilitera l’utilisation plus efficace des outils numériques dans le cadre de leur mission qui consiste à produire et à transmettre des leçons aux enseignés. Heureusement, le seul outil de 5e génération que nous avons découvert est Eska.

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La ruée vers le sous-système anglophone

Pourquoi les anglophones n’inscrivent pas leurs enfants dans le sous-système éducatif francophone à l’inverse des francophones ? Cas du Cameroun

A la différence du Laos, du Vietnam, et du Rwanda, le Cameroun est bilingue, les deux langues officielles sont l’Anglais et le Français.

Le système éducatif camerounais est régis par la loi numéro 98/004 du 14 avril 1998, il compte deux types d’enseignement : l’enseignement générale et l’enseignement technique. Sa particularité est le bilinguisme, on peut étudier en anglais ou en français et obtenir les diplômes équivalents. Ces deux dernières décennies nous observons une tendance très accentuée dans presque toutes les familles qui scolarisent leurs enfants plus de la moitié est dans le sous-système anglophone. Les francophones aiment et préfèrent inscrire leurs enfants dans le sous-système anglophone, ce qui n’est pas pareil pour les anglophones.
Pourquoi ce désamour pour le sous-système francophone?

  1. La Culture
    1. Chez les anglophones

Les anglophones en générale sont très solidaires, accueillants. Ils s’adaptent très rapidement et ne sont pas retissant à l’apprentissage. Prenons juste l’exemple dans notre société lorsqu’un anglophone se bat à parler le français, Malgré les moqueries et les intrigues il ne se fatigue pas jusqu’à ce qu’il sache le faire couramment. Il n’est donc pas nécessaire pour eux d’aller inscrire leurs enfants dans le sous-système francophone vu que même dans la rue leurs enfants peuvent apprendre à parler le Français.  

  1. Chez les francophones

Les francophones sont de nature moqueurs, paresseux et ne supportent pas la moquerie. Ils reculent face au moindre obstacle. Lorsqu’ils essayent de parler l’anglais une ou deux fois et on se moque d’eux ils abandonnent. Ne dit on pas que c’est en forgeant qu’on devient forgeront ? Même en suivant 10h de cours d’Anglais par semaine ne suffisent pas toujours pour venir à bout de se problème car une fois à l’extérieur de la salle de formation, les vieilles habitudes reprennent le dessus, sans compter qu’ils ne ménagent aucun effort pour y venir à bout, tout y passe même pour les plus avertis le Français reste la langue utilisée avec les l’environnement immédiat et quotidien :

  • Téléphones, Laptop et autres outils numériques,
  • Programmes TV
  • Lecture (Livres)
  • Expression orale
  • Ils sont influencés par leur environnement dont il faut pourtant dompter.
  1. Le contexte sociétal

La crise anglophone qui sévit depuis la fin 2016 dans les deux régions anglophones le NOSO (Nord-Ouest et le Sud-Ouest) a favorisé le déplacement des populations vers les deux principales villes et une surpopulation chez les élèves anglophones a permis la création et l’augmentation de l’offre des écoles anglophones, et beaucoup d’établissements (même les établissements confessionnels) sont passés du sous-système francophone à un  sous système (hybride) bilingue abritant à la fois les 02 sous-systèmes.

C’est sans doute pour cette raison que l’Etat Camerounais s’est arrimé à cette donne et à un peu accéléré le rythme de la création progressive des établissements scolaires publics bilingues qui était déjà quand même amorcée il y a une décennie. Tous les types d’enseignement  sont concernés. Un grand soulagement dans l’enseignement technique anglophone avec l’arrivée des Lycées techniques (industriel et commercial) bilingues dans les villes de Yaoundé et de Douala.

Conclusion et recommandation

Le Cameroun est à 80% francophone (c’est-à-dire 02 régions sur 10 sont anglophones)
Il faut dire ici que le bilinguisme est mieux pratiqué par les anglophones que par les francophones ces derniers même bilingues ont beaucoup de lacunes dans l’expression de l’anglais ceci est certainement du au fait que l’exode rural étant extrêmement marqué, l’essentiel des activités est concentré dans les villes notamment les deux principales Yaoundé et Douala qui sont les villes dont l’expression des citoyens est essentiellement francophone. Pour rétablir cet ordre des choses, et ceci sans l’intervention de l’Etat, les camerounais ont envoyés leurs enfants dans le sous système anglophone, résultat  de plus en plus nous rencontrons ces jeunes camerounais francophones s’exprimer correctement dans les deux langues.

L’Anglais est la langue la plus parlée au monde, les meilleures écoles sont dans le sous-système anglais, les meilleurs livres et la meilleure littérature.

Prenons de bonnes décisions à temps. Dites nous, qu’elle est la pertinence de plusieurs langues utilisées dans le système éducatif dans votre pays ?

L’apport de Eska

La transition dans un nouveau système n’est pas facile et ne s’accomplie jamais d’elle-même. Parce qu’il faut bien faire avant de faire vite, la migration doit être suivie, évaluée et pérenne.

 Les acteurs du système éducatif sont à pied d’œuvre et les enseignants sont plus en contact avec les apprenants et compte tenu du nombre élevé de demandes les enseignants ne peuvent pas répondre à toutes ses sollicitations.

C’est l’essentiel de la mission de Eska.

Eska propose un accompagnement efficace, innovant et performant.

L’application mobile Eska améliore les performances scolaires des enfants et améliore la communication de manière encadrée et structurée entre les enseignants et les parents.

Chers enseignants, utilisez Eska pour mettre le meilleur de vous au service de vos élèves et leurs parents :

  • Envoyez la discipline détaillée (Attitude, Participation, …) à votre cours
  • Publiez des devoirs et appréciez les travaux des élèves
  • Renseignez les notes d’évaluations

Prenez avec vos élèves une place dans le classement national et mondial